Le journal Le Parisien parle de Fineocar
Dans son édition du 6 août 2020, Le Parisien consacre une page entière à Fineocar, intitulée « Ils rachètent votre voiture pour mieux vous la revendre » et rédigée par Sophie Bordier.
Fineocar, une page entière dans le quotidien Le Parisien
Leader de la vente à réméré automobile en France comme alternative au prêt sur gage, l’enseigne Fineocar a récemment fait parler d’elle dans les colonnes du journal quotidien Le Parisien.
Le Parisien, journal régional français de presse écrite quotidienne fondé en 1944 et également appelé Aujourd’hui en France pour son édition nationale, a en effet consacré une page entière au phénomène Fineocar. Le spécialiste de l’alternative au prêt sur gage, dispose en effet d’une agence près de Paris, en sus des 4 autres sur l’ensemble du territoire.
Si le prêt sur gage, en France, est seulement réservé au Crédit Municipal, la société Fineocar propose un concept qui s’en rapproche. Même le slogan de l’entreprise Fineocar – un gage de liberté – créée en Alsace, près de Mulhouse, et qui vient d’ouvrir une succursale à Vaux-le-Pénil est là pour le rappeler. Pour s’adapter à la législation française, Cédric Domeniconi et Alexander Lötscher proposent un système particulier d’achat de véhicule contre des liquidités : la vente à réméré.
La vente à réméré : quelles différences avec le prêt sur gage ?
En France, le prêt sur gage ne peut être proposé que par le Crédit Municipal. Pour ne pas être en infraction avec la loi, Fineocar utilise donc la vente à réméré, un concept proche mais avec quelques différences. En effet, avec le prêt sur gage, le client reste propriétaire de l’objet, alors que dans le cadre d’une vente à réméré, il y a une vente et Fineocar devient, temporairement, le propriétaire. Si au terme, du délai, le client ne souhaite pas – ou ne peut pas – racheter le véhicule, Fineocar peut le vendre alors que dans le prêt sur gage, l’objet est nécessairement vendu lors d’enchères publiques.
Seul le véhicule compte
Dans le cadre de la vente à réméré, seul le véhicule compte. Avec Fineocar, il n’y donc pas de problème de justificatif de salaire ou d’interdit bancaire, il faut seulement posséder le véhicule. Le concept n’est donc pas accessible aux locations longues durées ou avec option d’achat. Concernant la valeur du véhicule, qu’il s’agisse d’un utilitaire, d’une moto, d’un camping-car ou d’une voiture, la valeur sur le marché de l’occasion ne peut pas être inférieure à 7 000 €.